Le coaching en entreprise est reconnu comme un levier de performance. Sportifs de haut niveau, hommes d’affaires, … font appel au coaching car ils savent que cela leur permettra de s’améliorer. Au delà du développement personnel qu’il génère auprès du personnel coaché en entreprise – dirigeants – cadres – managers – employés, le coaching est un facteur d’amélioration à la perception du changement.
Le changement – Coaching et perception
Le changement ! voilà une période, un instant, qui peut être générateur d’inquiétude et de stress. Tout va dépendre de la nature du changement. Si ce dernier répond à des attentes ou à des besoins du personnel, tel qu’une augmentation d’échelon, de salaire, un confort supplémentaire dans le cadre des conditions de travail, etc … y a fort à parier que le changement soit bien accueilli, voire même plébiscité.
En revanche, si le changement est éloigné des préoccupations du personnel, qu’il répond davantage à une adaptation du marché, socio-économico-politique et qu’il est perçu par le personnel comme une régression, une perte, une injustice, un non sens, une zone d’ombre générant de l’inconnu, etc … alors une réaction défensive et légitime se manifeste. Améliorer la perception du changement, des événements, devient alors un soutien, parfois une nécessité vitale, à se maintenir et au mieux à se dépasser dans les moments difficiles.
La vie est changement, tout change et se transforme ! et l’entreprise ne fait pas exception à cette loi de l’univers. Il y a seulement des changements mieux acceptés, mieux accompagnés, que d’autres.
La vie est ce qu’elle est, se sont nos émotions, croyances, réactions et actions qui nous font percevoir et vivre les choses différemments :
- des périodes calmes, presques immobiles, génèrant plutôt la quiétude, la sérénité, mais pouvant à l’extrème devenir source d »ennui et de lassitude,
- des moments de tumultes, de stress, de remise en question, où l’on se doit de s’adapter, de s’actualiser, car le sentiment que tout va mal est présent, que plus rien ne va, perte de maitrise et confronté à de nouvelles difficultés, l’expérience de vie peut aller de l’inconfort à la déchéance, mais aussi à l’extrème devenir une source de renaissance, d’acquisition de nouvelles compétences, … ne plus voir la fin de quelque chose mais le début d’une autre histoire personnelle / professionnelle.
Dominique Glocheux : « N’oubliez pas, écrit-il, nous ne vivons qu’une seule fois. Mais si vous vous y prenez bien, une fois, c’est suffisant. » Comment bien s’y prendre ? L’auteur ajoute: « renouez avec votre coeur d’enfant et vous verrez que le bonheur est là, en vous, autour de vous. »
« Si une porte se ferme, combien d’autres s’ouvrent alentour! » SAADI
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