Être en bonne santé est l’un des vœux les plus souhaités chaque année. En effet, personne espère aller moins bien et souffrir plus que la veille, ni les jours suivants.
Bonne année, bonne santé !
Être en bonne forme semble donc important pour la plupart d’entre nous.
Le paradoxe est que la société de consommation n’a que faire de notre mauvaise ou excellente santé, car dans tous les cas vous allez consommer.
Pour elle, dans l’absolue, l’individu est une simple ressource financière quel que soit la direction qu’il prend.
Au mieux, nous sommes un point de statistique qui induira ou pas une analyse, des orientations, une tendance …
La société de consommation n’a que faire de votre:
- état de bien-être,
- épanouissement personnel,
- immunité …
« N’attendez rien d’un système qui base sa survie et son développement autant sur votre souffrance que sur votre bonheur » – N.C.
Cultiver l’art de la bonne santé
A l’échelle individuelle, la perte de santé est perçue comme un frein, un handicap dont on préférerait se dispenser. Pour autant, à plus ou moins long terme cette diminution de santé peut devenir une source d’enseignement.
Pour exemple, le stress, le mal être … sont des facteurs aggravants ou déclencheurs de symptômes physiques, les maladies psychosomatiques.
En étant à l’écoute de ses manifestations, la croyance du hasard s’estompe. Il devient plus complexe de se dédouaner de toute responsabilité.
En comprenant la manifestation de la « mal à dit », de la perte de santé, les changements à entreprendre peuvent apparaître plus évidents.
Au delà de son bien-être personnel et immédiat, cultiver l’art de se maintenir en santé est une forme de spiritualité, de relation à soi et au monde. Améliorer son héritage génétique, augmenter son immunité …
Alors que nos ancêtres avaient une constitution robuste et des performances naturelles d’exceptions (LE CHASSEUR DE WILLANDRA), les études montrent que notre sédentarité, notre nutrition … nous font évoluer vers un affaiblissement, une baisse de la fertilité, des jeunes médicalisés à outrance …
Être en pleine forme
Vouloir être en forme ne doit pas être une fin en soi, ni devenir une contrainte qui rendrait le chemin moins épanouissant que le but recherché.
Si de nombreuses personnes ont une santé précaire pour autant elles n’en dégagent pas moins sinon plus d’énergie, de joie de vivre … que des bien-portants.
Qu’est ce que la bonne santé ? Peut-être tout simplement la capacité à apprécier le plus pleinement possible l’instant présent.
Toutefois, la représentation que l’on se fait d’être en forme est souvent définie par défaut par l’absence de maladies.
Le fait de ne pas avoir encore déclenché de symptômes est-il suffisant pour affirmer être en santé ?
La bonne santé ne peut pas se mesurer et se résumer seulement à la durée de vie et à l’absence de maladies.
Elle devrait intégrer l’intensité de l’épanouissement du moment présent et le sentiment de réalisation de soi avec le tout.
Mes vœux de bonne année
Je vous souhaite mes meilleurs vœux de santé et de créativité dans cette société où la place et la valorisation de l’humain reste un défit.
Alors, « si tu ne fais pas ton propre plan de vie, à quelque niveau que ce soit (professionnel, santé, relations …), il y a de fortes chances que tu tombes dans les plans de quelqu’un d’autre. Et devines ce qu’ils ont prévu pour toi ? Pas grand chose. » – Jim Rohn
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